René CharRené Char à Albert Camus (6 de Maio 53):
(…) Vous êtes un des rares hommes, Albert, que j’aime et que j’admire d’instinct et de connaissances à la fois (les deux si souvent se détruisent), ces hommes que le temps, le souci, l’espoir, la fatigue puis l’allégresse de vivre font grandir chaque jour dans notre cœur dont ils occupent et dessinent le sommet que la nature ne nous a point donné et qui n’est dû qu’à nous et à cet infime nombres de frères que nous chérissons et qui nous éclairent à tout moment là-haut.» (…)
Albert Camus à René Char (13 de Maio 53):
(…) C’est une bonne, une grande chose, que de pouvoir vous lire en ce moment, spécialement, et, en tout temps, je pourrai revenir vers votre poésie, la seul avec laquelle je vive, depuis des années maintenant.» (…) Tant que je n’aurais pas trouvé un ordre acceptable, ma vie continuera d’être une exténuante tension. Par bonheur ma santé est bonne – et j’ai mon travail, où je peux rire et pleurer à mon aise.» (…)
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“Se é bem claro que, logo após o cerco de Guimarães, se verificou uma aliança entre D. Afonso Henriques e as nobres que tinham abandonado a corte em 1122 e em 1125, é mais difícil decidir a quem pertenceu a iniciativa deste acordo. Mas as circunstâncias em que se deu o cerco, e a participação que nele tiveram pelo menos alguns dos nobres revoltados contra D. Teresa, devem ter facilitado as decisões imediatas, tanto da parte do infante como da parte dos nobres. Estes viram que podiam contar com um chefe decidido. Podiam tê-lo do seu lado se encorajassem as suas ambições.”








