sexta-feira, agosto 8

L’été libertaire d’Albert Camus

«La liberté n’est pas un cadeau qu’on reçoit d’un Etat ou d’un chef, mais un bien que l’on conquiert tous les jours, par l’effort de chacun et l’union de tous (1).»

(...)

On comprend mieux pourquoi la gauche n’a jamais aimé Camus : trop proche des insoumis. La droite, elle, a espéré le récupérer - mais l’antitotalitarisme de l’écrivain, qui l’a mené à Bakounine, le père de l’anarchie, a débouché, comme nous le rappelle activement l’exposition de Lourmarin, sur la non-violence, jamais sur des interventions armées, fussent-elles disculpées par le droit d’ingérence. «Tuer les hommes ne sert à rien que tuer encore.» (2).
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2 comentários:

hfm disse...

Como seria bom se todos lessem e interiorizassem a primeira citação.

Unknown disse...

A liberdade deixa-nos conhecer a arte, logo a criatividade.
Temos a liberdade de interpretar os artistas e até para associá-los a movimentos ou estruturas sociais.
Na minha simples interpretação, afirmo que arte na política, talvez mas política na arte infeliamente já existe e comprime e deforma qualquer expressão... estraga.

Abraço,

Pierrot le fou