Au lendemain d’une tournée triomphale de six mois et deux jours après la fameuse table ronde (6 janvier 1969) entre les trois grands de la chanson française (Léo Ferré, Jacques Brel et Georges Brassens), Léo Ferré embrase les planches de Bobino, à Paris, avec trois chansons rouge révolte et sexe de feu: « Ni Dieu ni maître », « C’est Extra » (le tube de l'année 69) et, en apothéose finale, « Les Anarchistes », un petit chef-d’œuvre enfoui derrière les fagots depuis 1967. Les drapeaux noirs flottent dans la salle. Léo Ferré poursuivra son récital jusqu’au 3 février. [Vi em Lisboa, mais tarde, arrepiante!]
Ci-après, Léo Ferré chante « Les anarchistes » en italien (Gli anarchici)[Source] [Format Windows Media Player]
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